Après ma lecture de "L'homme qui voulait vivre sa vie", j'ai reçu beaucoup de commentaires qui m'encourageaient à lire cet autre roman de Douglas Kennedy (je fais partie de ceux qui n'en avaient jamais entendu parler et qui survivaient).
En cette période de convalescence, le pavé de plus de 700 pages aux promesses d'envolées romanesques m'a semblé un bon moyen de passer le temps dans un transat au soleil; et je n'ai pas été déçue.
Je ne vais pas révolutionner le résumé de ce livre, et je me contente donc paresseusement de copier la 4ème de couv:
"Manhattan, Thanksgiving 1945. Artistes, écrivains, musiciens... tout Greenwich Village se presse à la fête organisée par Eric Smythe, dandy et dramaturge engagé. Ce soir-là, sa soeur Sara, fraîchement débarquée à New York, croise le regard de Jack Malone, journaliste de l'armée américaine. Amour d'une nuit, passion d'une vie, l'histoire de Sara et Jack va bouleverser plusieurs générations.
Un demi-siècle plus tard, à l'enterrement de sa mère, Kate Malone remarque une vieille dame qui ne la quitte pas des yeux. Coups de téléphone, lettres incessantes... Commence alors un harcèlement de tous les instants. Jusqu'au jour où Kate reçoit un album de photos... La jeune femme prend peur : qui est cette inconnue? Que lui veut-elle ?"
Choses promises...choses lues! On trouve bien du romanesque, des destins édifiants, (de femmes en majorité, monsieur K. sait contenter tout son public), des rebondissements saisissants, un contexte journalistique piquant, une chronique de vie américaine bien dépeinte... il y a largement de quoi emporter son lecteur!!
Alors ce n'est pas devenu mon écrivain préféré et je ne me sens pas transformée par cette lecture, mais j'avoue qu'elle est plutôt bien tombée pour me divertir et me plaire en ce moment, et c'est déjà pas mal!!